Une action en diffamation ne peut être fondée sur une déclaration écrite, connu comme la diffamation ou une communication orale, connu comme la calomnie. Pour être admissible, la déclaration doit être fausse. Il doit être entendu ou vu par des tiers: publié dans un journal, par exemple, ou entendu dans une conversation fort. En outre, la déclaration doit avoir été destiné à être pris comme la vérité et non pas comme une opinion. En outre, la déclaration doit avoir causé un préjudice, comme votre perdre votre emploi à la suite. Enfin, la communication ne doit pas être privilégiée. Par exemple, sinon des déclarations diffamatoires ou calomnieux ne sont pas considérés comme une action si elle est faite au tribunal ou par les législateurs dans les chambres législatives.
Si vous avez réussi à un procès en diffamation, vous pourriez avoir droit à dommages-intérêts compensatoires. Ces prix sont calculés en fonction de ce que vous avez réellement subi un préjudice à la suite de la déclaration. Les exemples pourraient inclure la perte de salaire d'un travail on vous a refusé, la détresse émotionnelle personnelle subie par l'attention des médias, ou de la perte de la valeur du produit du travail personnelles, telles que vos peintures.
Le tribunal peut également accorder des dommages consécutifs à la partie lésée dans une affaire de diffamation. Ces montants sont destinés à couvrir les coûts associés à "nettoyer" votre réputation ou de caractère. Les exemples pourraient inclure l'embauche d'une firme de relations publiques pour gérer la presse ou un avocat pour aider à arrêter la distribution en ligne de la déclaration diffamatoire.
Certains Etats donnent aussi aux tribunaux le pouvoir à des dommages-intérêts punitifs. Dommages-intérêts punitifs ne sont pas basées sur les pertes subies par la partie lésée, et sont plutôt destinés à punir le contrevenant de l'acte illicite. Ils sont également utilisés pour faire un exemple de l'auteur et de dissuader le public d'agir de même. Pour cette raison, ces prix sont de nature discrétionnaire, et le tribunal peut prendre en considération les ressources financières de la partie coupable, la gravité de la diffamation, et si elle est la première violation par le délinquant.