Juges femmes dans la Bible

Les juges

• Pendant l'ère après la conquête israélite de la terre d'Israël, mais avant l'établissement de la monarchie, Israël était une confédération tribale lâche. Pendant les périodes d'urgence nationale, impliquant généralement une invasion ou l'oppression par les dirigeants cananéens, un chef serait choisi et donné le pouvoir large sur toutes les tribus dans le but de résoudre la crise. Lorsque la crise passée, l'autorité de la chef de file est terminée. Ces dirigeants étaient connus comme Shoftim, qui se traduit par «juges». Parce que leur rôle était avant tout un militaire, certaines traductions de la Bible rendent ce mot comme "chefs". En accord avec les normes sociales de l'époque, ces juges étaient presque exclusivement des hommes. Deborah est la seule exception.

Rôle

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  Contrairement aux autres chiffres qui sont appelés juges, Deborah semble effectivement avoir été impliqué dans le règlement des différends. Le livre biblique des Juges raconte que Deborah a été situé dans la partie nord d'Israël et que les gens se rendrait à elle pour régler leurs différends. Curieusement, Deborah est aussi appelé un prophète, une des rares femmes dans la Bible à porter ce titre.

Chef de guerre

• Deborah a fonctionné comme un juge israélite traditionnelle (un chef militaire) quand elle a dirigé une coalition des forces d'Israël, avec son commandant sur le terrain, Barak, contre les forces du roi cananéen Jabin, et son général, Sisera. Les forces israélites remporté une victoire décisive, et Sisera, fuyant la scène de sa défaite, a été tué par Yael, une femme locale avec lesquels il tentait de trouver refuge.

Le Chant de Deborah

• L'histoire de Deborah et sa carrière en tant que chef militaire et la seule femme juge est dit deux fois dans le livre des Juges. Le chapitre 4 décrit les événements sous forme de prose, tandis que le chapitre 5, connu comme la chanson de Deborah, présente les mêmes événements sous une forme poétique. Chapitre 5 enregistre la version poétique de ces événements dans les mots de Deborah et Barak.